De gauche à droite : Nicolas Gomart, Jean-Luc Van den Heede, Daniel Havis, Annick Girardin et Valérie Fourneyron © Christophe Favreau
Ce samedi 28 avril, « Matmut » a été baptisé à Bordeaux, en présence d’Annick Girardin, Ministre des Outre-Mer et marraine du voilier, de Daniel Havis, Président de la Matmut, de Nicolas Gomart, Directeur Général du Groupe Matmut et de Jean-Luc Van Den Heede.
Pour célébrer le premier tour du monde historique sans escale et en solitaire lors de la Sunday Times Golden Globe Yacht Race (1968/1969), une nouvelle course, la Golden Globe Race, commémorera le 50ème anniversaire de cette épopée en 2018.
À bord du voilier Matmut, Jean-Luc Van Den Heede (VDH) participera à cette aventure hors du commun et, comme les autres concurrents, ne disposera que des moyens de l’époque : pas d’électronique, pas d’ordinateur, pas de pilote automatique, pas de GPS… Tout au sextant et à l’estime…
Préparation, anticipation, gestion des risques, résistance… Le Groupe Matmut ne peut qu’être sensible à la navigation en solitaire. Il apporte tout son soutien à Jean-Luc Van Den Heede.
Le choix de Bordeaux pour accueillir le baptême du voilier n’est pas neutre. Le Groupe Matmut y a des attaches particulières. Ociane Groupe Matmut, sa structure en charge de l’assurance santé y est historiquement implantée (Ociane a rejoint le Groupe Matmut début 2017). Par ailleurs, le stade Matmut Atlantique porte le nom du Groupe depuis 2015 et le contrat de naming signé pour une durée de 10 ans.
Enfin, le Groupe Matmut a décidé d’être le plus solidaire possible de la course de VDH et de son côté atypique. Il organisera ainsi une opération « digital detox » auprès de ses collaborateurs. Pendant les mois que durera l’aventure de VDH, de nombreuses opérations auront lieu au sein du Groupe pour rappeler l’importance du contact humain et de l’échange, à une époque de forte digitalisation de la société. De façon ludique et amusante il sera demandé à l’ensemble des salariés de la Matmut de privilégier des moyens de communication différents, comme des choses aussi simples que d’aller vers l’autre. Une sensibilisation aux conséquences environnementales d’une surconsommation d’emails est aussi au programme.